"La couverture [du Jardin ouvrier] est invariablement grise, d'un gris défini comme légèrement « verdâtre », un gris « visible », un gris qui pourrait être celui de la terre des jardins, un gris dont on ne peut dire grand chose d'autre, sinon qu'il est gris, autrement dit, pour parler jeune, donc moderne, « un gris de chez gris ». Mais c'est un gris important, dont on peut se faire une idée plus précise à la lecture d'une longue suite de Paul Rameau intitulée précisément
Gris (numéros 29-37 - et notamment n° 33)" (p. 10-11).