"Il demeure jusqu’à la solitude sans être. Jusqu’à la table aussi prompte que des mains mortes de rien prendre. Autant ciel que tête contre mur. Sa pensée effacée par l’absence de corps. Délaissée par l’absent qui la pense".
2002 260 p., 14 X 14,8 cm Imprimé en avril 2002
il en parle
Ivar Ch'Vavar fondateur de la revue Le Jardin ouvrier
"long poème en prose Gris […] où l'écriture très avancée et risquée, tâche de saisir et de dire l'être, à la racine de la sensation"
(Le Jardin ouvrier 1995-2003, Ivar Ch’Vavar et camarades, Paris : Flammarion, 2008, p. 217)